Au sein des écoles du monde de l’IB comme la nôtre, les relations interpersonnelles concomitantes à l’apprentissage et à l’éducation ont pour effet de rapprocher les individus, et ce, peu importe leur rôle dans la communauté d’apprentissage. « Cette communauté inclut toutes les personnes qui participent à la vie scolaire, à savoir les élèves et leur famille, l’ensemble des membres du personnel de l’établissement ainsi que les autres adultes jouant un rôle important dans la vie des élèves. En situant l’apprentissage dans les communautés locales et mondiales, les résultats sont analysés sous des angles individuels et collectifs, ce qui met en lumière l’interdépendance de toutes les personnes et de toutes les choses », mentionne l’IB, dans son site Internet.
On en a pris conscience avec la présentation de l’Expo : les parents sont de plus en plus nombreux à vouloir s’engager et à intégrer les différentes facettes de la vie scolaire et sociale. Non-négligeable, cette contribution de taille a un effet positif sur la relation qui unit le personnel de l’école et les élèves. En plus de garantir leur bien-être et leur épanouissement, il solidifie le lien d’attachement, augmente sentiment d’appartenance et les chances de réussite. « Pour établir de bonnes relations, il convient avant tout de constituer des partenariats entre toutes les parties prenantes et de reconnaître la contribution spécifique que chaque membre apporte à la communauté, tant individuellement que collectivement. Ces partenariats permettent de rassembler les membres de la communauté autour d’une vision, d’une mission, de convictions et de valeurs communes, développées puis soutenues ensemble. Chaque membre manifeste les aptitudes du profil de la communauté d’apprentissage, en faisant preuve, par exemple, d’altruisme, d’intégrité et de communication, pour consolider ces relations », poursuit l’IB.
« La réussite de la collaboration réside dans la confiance mutuelle et le respect pour la diversité des perspectives et des rôles qui sont mis en commun par la communauté. Il existe des structures spécifiques pour faciliter des discussions approfondies axées sur l’apprentissage et l’enseignement, et les décisions sont prises de façon à servir au mieux les intérêts de la communauté d’apprentissage. Toutes les relations sont dynamiques et renforcent le bien-être de la communauté d’apprentissage dans son ensemble », affirme l’organisation qui chapeaute le Programme primaire à l’échelle mondiale. « Dans une communauté d’apprentissage efficace, ses membres nourrissent des relations constructives qui profitent à chacun et à chacune », poursuit-on.
Et si c’était vous, aussi?
Notre intention est donc de vous ouvrir encore plus grandes nos portes, en 2025-2026, pour progresser dans la visée explicitée précédemment. À cet effet, je me permets de vous préciser quelles formes pourraient prendre cette collaboration : bénévolat ponctuel, parent-pivot entre un(e) enseignant(e) et les autres parents, accompagnateurs lors de sorties scolaires, etc. Plusieurs parents ont soumis, en mars leur intention de se porter volontaire pour faire fructifier cet union pour le bénéfice du plus grand nombre. N’ayez crainte, je reviendrai vers vous. D’ici là, j’invite d’autres parents à leur emboîter le pas à m’écrire pour me signifier l’intérêt de s’impliquer davantage et de manière concrète en jouant un rôle signifiant, un engagement de premier plan pour le bénéfice de l’apprentissage et de l’éducation. Pour ce faire, vous pouvez m’écrire à Mathieu.Hardy@cssc.gouv.qc.ca.
Je vous contacterai après avoir mené une cueillette d’information auprès du personnel enseignant afin de mieux cerner leurs besoins.
Bon mois de mai,
Mathieu Hardy, coordonnateur du Programme primaire